Workflow, Trucages & Montage
Lors d’une conformation, une timeline retrouve ses fichiers (images ou sons) grace à 3 métadonnées:
Malheureusement dans un projet Resolve la métadonnée « ReelName » des fichiers est par défaut ignorée. Une Gestion du « ReelName » permet de récupérer cette métadonnées si elle existe, sinon d’en créer une !!
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FFmpeg est une bibliothèque de conversion audio/video : « decode, encode, transcode, mux, demux, stream, filter and play«
Le soucis (pour certain, dont moi) c’est que c’est un outil en ligne de commande. Heureusement plusieurs Interfaces graphiques existent (GUI). Shutter Encoder en est une faite par un français.
En effet ffmpeg permet tellement de chose, qu’une partie de ses possibilités ne se retrouve pas dans les logiciels de post-production classiques. Elle méritent d’être plus connues, car peuvent faire gagner un temps fou.
Et par temps fou j’entends des fonctions qui sont quasi instantanée car il n’y a pas de processus de décompression-effet-compression. On va regarder 3 fonctions « sans recompression »
Ce mot fait référence au montage sur bande magnétique. depuis le mot « Insert » à changer de sens (changement de durée totale).
Charger Plusieurs fichiers de même codec/résolution/framerate
Les Timecode des fichiers courts se retrouvent dans le timecode du fichier le plus long.
L’insert Vidéo Remplacera dans le fichier long toutes les images dont le timecode est similaire à celui d’un fichier court
Exemple 1 : Remplacer/Ecraser un générique de fin suite à une corrections de fautes d’orthographes
Exemple 2 : Remplacer/Ecraser des cartons/titres lors d’une Francisation d’un programme
Rewrap en anglais, consiste à changer de container …. c’est assez commun avec des videos H264/5 qui se trouve dans des fichiers .mts. Un ré-encapsulage en .mov ou .mp4 est souvent idéal, pour la post-production.
Avant la version 18 de Resolve, j’utilisais cette fonctionnalité pour les .mkv
Cela permet simplement de changer le framerate d’un clip. Très pratique pour les conformation 24 ➧ 25 ou 23,98 ➧ 25 ips
Le gros plus est que le son est adapté à la nouvelle durée
être bien conscient que le timecode source sera ignoré/perdu
C’est un node d’incrustation. le dernier en date dans fusion. le plus versatile/puissant… surtout combiner à un node CleanPlate
Voici quelques rappels sur les réglages de ce node
(suite…)L’AV1 est une réponse H265
Décodeur Matériel intégré aux cartes Graphiques depuis :
Encodeur Matériel intégré aux cartes Graphiques depuis :
Voici une liste de logiciels gratuits pour faire du travail de post production. Pour faire partie de cette liste il faut en plus que le logiciel soit compatible [[Raccourcis Clavier MacOS|MacOS]] ET Windows. Linux est un vrai plus. Bien évidement cet article est biaisé par mon regard de truquiste et ancien monteur 😀
C'est LE logiciel gratuit pour la 3D et bien plus encore.
Voici quelques fonctions intéressantes :
Davinci Resolve est constitué de plusieurs "pages" (Montage/Trucage/Mixage/Etalonnage/Export) qui sont toutes déjà bien fournie en fonctionalités même dans la version gratuite
Voici quelques fonctions intéressantes :
Shutter Encoder est une interface graphique (GUI) pour ffmpeg (le couteau suisse de la conversion en OpenSource)
Voici quelques fonctions intéressantes :
DCP-o-MATIC sert à l'authoring DCP. Le format de fichier de diffusion en salle de cinéma.
Voici quelques fonctions intéressantes :
IMF Tool est un outils de controle et d'édition des paquets IMF
Voici quelques fonctions intéressantes :
Natron est un logiciel de compositing Nodal comme Nuke ou Fusion
UN nouveau né sur le compositing nodal
Calvary a pour spécialité le Motion Design animé (a.k.a Motion Graphik a.k.a MoGraph).
Petit logiciel de montage basé sur ffmpeg pour la lecture des fichiers
AnyDeskTool est un utilitaire de prise de controle d'ordianteur à distance … très léger et efficace
Obsidian est un outil de prise de note et de redaction d'idée. Second cerveau
Voici quelques fonctions intéressantes :
Blackmagic Design se lance dans le stockage partagé avec 3 solutions matérielles. Début mars une baisse de tarifs est annoncée. Cet article fait suite à celui de 2022, il ne se penchera que sur le modèle haut de gamme, adapté au travail collaboratif en tout confort. En plus d’analyser ses spécifications et capacité, il sera mise en comparaison avec les solutions déjà existantes de QNAP (que j’installe).
(suite…)un petit tour d’horizon des nouveautés qui m’ont marqué.
(suite…)De plus en plus de de plan sont truqués en post production et de moins en moins sont vraiment fixes. Il faudra donc avoir recours à du tracking. Malheureusement le tracking ne se satisfait pas de n’importe quelle image tournée. Regardons les défaut d’une image vidéo et comment y remédier au tournage
(suite…)Comme tout tracker, le Planar tracker va avoir 2 étapes biens distinctes et pourtant intimement liées : l’analyse de mouvement ET l’exploitation de cette dernière
C’est la première chose à définir. Le reference time est l’instant ou la surface est le plus « en face » de la caméra£. c’est aussi l’instant ou l’on fera le trucage/compositing.
Elle se définie/dessine comme un forme de bezier
Choisir un des 4 canal à analyser : Rouge, vert, Bleu ou Luminance
Utiliser les canaux du viewer pour visualiser chaque canal et choisir le moins bruité
Aider le tracker en lui indiquant le type de mouvement qu’il analyse. Ils sont rangés du plus simple au plus complexe. Malheureusement toujours laisser « Perspective », amène plus d’erreurs
Entrée blanche permettant d’indiquer via des « masques » les zones à ignorées pendant l’analyse. Généralement, on détour grossièrement un élément/personnage au premier plan qui n’a rien à voir avec la surface à trackée
Les irrégularités dans le Spline sont souvent signe d’un problème. On supprime la clé ou les clés en amont/aval.
les bouton du bas permettent de supprimer
on peut aussi extrapoler le track si il devient impossible à tracker. Dans le Spline faire Clic droit ➧ Extrapolation. ( C’est la direction donnée par les 2 dernières/premières clés)
Classiquement on change la surface de track, et ou le « type de mouvement » et le tracking fonctionne.
Suite à l’analyse, on va pouvoir l’utiliser pour travailler et il y a plusieurs possibilités
Depuis le tracker ou Connecté manuellement
Grille et Offset et Multi Corner Pin
Pour le Paint et autres travaux de VFX en « Immobilisation »
Utilisation de la forme de Track comme masque
Blackmagic Design se lance dans le stockage partagé avec 3 solutions matérielles. Cet article ne se penchera que sur le modèle haut de gamme, adapté au travail collaboratif en tout confort. En plus d’analyser ses spécifications et capacité, il sera mise en comparaison avec les solutions déjà existantes de QNAP (que j’installe).
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Les métadonnées sont le coeur de la mécanique Dolby Vision : elle vont permettre le « Content mapping ». Or il en existe (déjà) 2 versions : CMv2.9 et CMv4.0
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Depuis le gestionnaire de projet Resolve 18, on peut simplement créer une library, sur le disque, le réseau ou dans le Cloud. L’opération inverse par contre n’est pas aussi simple
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Dans la copie de fichiers de tournage dite « sécurisée » ces derniers sont toujours accompagnés d’une signature ou d’une empreinte qui permet de vérifier leur intégrité. Et ainsi du bon déroulement de la copie.
Le MHL propose de regrouper, par soucis de simplification, toutes ces empreintes dans un unique fichier.
Pour des raisons de qualité l’espace colorimétrique du fichier Master n’est pas celui de celui de diffusion. Un transcodage avec une gestion de la couleur est à faire. Rien de nouveau … sauf pour un Fichier Dolby Vision dont les métadonnées se doivent d’être le reflet strict du fichier qu’elles accompagnent
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Plusieurs opérations travaillent à partir d’un fichier Dolby Vision. Ne serait-ce que le contrôle qualité de ce même fichier. Et bien sur des transcodages pour la diffusion soit en HDR (Rec2100) soit en SRD (Rec709). Il faut donc correctement importer et régler son Projet Resolve
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