Passons en revue les différentes méthodes d’encodage, de la plus vielles à la plus …. efficace.
Débit Constant
Historiquement le débit de video compressée est constant et indépendant de la complexité intrinsèque des images.
Ce qui amène a la situation connue :
Toute image trop complexe pour le débit fixé par le codec (ou l’utilisateur) sera visuellement dégradée : partie cyan du graphique.
Il suffit alors d’augmenter le débit pour qu’aucune des image ne soit dégradée.
Ce qui est intéressant c’est la vérité inverse.
Combien d’image visuellement non dégradée profite d’un trop grand débit ?
La réponse est : une grande majorité.
On peut donc en conclure à un gâchis d’espace disque et de bande passante phénoménal.
Débit Variable
Le « débit variable » est une amélioration du « débit constant », mais présente plusieurs désavantages :
- Toujours un bon gâchis de bande passante
- Beaucoup d’essai d’encodage pour optimiser/trouver les bonnes valeurs des débit Moyen & Max
- Encore plus de temps : il y a une « passe d’analyse » en plus (encodage 2 passes)
Qualité Constante
Comme évoqué par le graphique la Qualité Constante permet d’avoir une Qualité de compression identique quelque soit la complexité des images.
Il en résulte un débit aussi variable que les images, ce qui peut-être problématique parfois
Il est possible de choisir la « Qualité de compression ». c’est d’ailleurs le seul réglage. Il peut-être mauvais :
- soit trop bas : toutes les images seront mauvaises
- soit trop haute : chaque image gâche du débit. Malgré cela, ca sera sans doute l’approche la plus simple